Après un premier tour de chauffe au Théâtre de Dix Heures, Djamil Le Shlag débarquera sur les planches plus affûté que jamais. Avec un nouveau spectacle plus proche du match de boxe que du stand-up : il part à la conquête du titre du plus gros punchliner. Pour son premier round chez les pros, il n'a qu'un objectif : le KO. Ses armes ? Une énergie et un phrasé unique qui pousseront son publique dans les cordes pendant 60 minutes.
Né il y a une trentaine d'années quelque part en Auvergne, Djamil apprend très tôt à parler haut et fort pour attirer l'attention, car à 11 dans un F4 c'est le seul moyen de se faire entendre. Après une enfance paisible, suivie de quelques années sur les bancs de l'université entre fac d'histoire et de sociologie, Djamil se cherche. Il part vivre quelques mois aux États-Unis et en Asie pour y constater qu'il n'a vraiment qu'une seule envie : faire rire sur scène.
A 30 ans il se sent mûr pour démarrer dans l'humour et y met toute son énergie pour imposer son style et sa vision. Pour cela il ne cherche pas d’inspiration chez d’autres humoristes, mais plutôt du côté des bêtes de scène tels que James Brown, Jacques Brel ou encore Freddy Mercury, qu’il admire pour leur capacité d’enflammer les salles.
Fan inconditionnel de Mohamed Ali, il prend la scène pour un ring et cherche à toucher son public à la tête, au cœur mais surtout à l'estomac : son objectif est de plier ses spectateurs en deux.